
Loin, au loin, mon cœur s’éloigne
A bord d’un caïque solitaire
Poussé par le souffle de la mer
Une brume couvre mes yeux
Et disperse ton souvenir soyeux
Amorgos belle, Amorgos silencieuse
Déesse à l’éclat infini
Lumière de l’aurore
Rayon de la nuit
Enveloppée d’étoiles
Tu dors sereine
De l’antiquité à la pérennité